Ce site est lié à la préservation de l’Aigle botté et du Circaète Jean-le-blanc, deux rapaces forestiers protégés. Ces migrateurs passent l’hiver en Afrique subsaharienne et, au printemps, remontent vers l’Europe pour s’y reproduire. Les couples semblent être fidèles au secteur de reproduction, mais aussi à l’arbre sur lequel le nid est construit. Comme le dérangement constitue une des grandes causes de l’échec de la reproduction, l’acquisition de ces forêts vise à garantir une zone de quiétude d’une trentaine d’hectares autour de chaque nid localisé par des ornithologues.